Etape se déroulant dans les gorges de la Cère en longeant les 2 versants. On quitte le département du Cantal pour faire une brève incursion en Corrèze. Ce parcours est un peu spécial dans le sens où vous croiserez peu d’habitations. En outre, les premiers kilomètres du chemin sont considérés comme étant difficiles pour certains randonneurs. Ce trajet en sous-bois est parfois monotone, car peu varié.

A noter qu’une partie de cette étape possède un tronçon commun avec la GR652.

Après le déversoir, destination le village de Camps-Saint Mathurin-Léobazel situé dans le département de la Corrèze. La rivière de la Cère vous accompagnera tout au long de ce périple.

Carte & Itinéraire

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Passez le curseur de la souris sur la courbe d’altitude.

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Diaporama du parcours

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Etape technique et escarpée durant les 8 premiers kilomètres. Le parcours est situé dans une vallée encaissée. Il est fortement déconseillé d’emprunter cette section en période de pluie. En outre, une bonne forme physique est nécessaire. En guise d’alternative, il est conseillé de prendre la variante proposée pour les VTT et les animaux de bats.

Une fois cette section d’étape franchie, clame plat sans aucune montée ni descente pendant une dizaine de kilomètres.

Absence de commodité ou de points de restauration sur le chemin. Pensez à apporter votre pic-nique.

Ce chemin est aussi conditionné en fonction du type d’hébergement (gite d’étape sur la commune de Léobazel ou Hôtel à Camps) choisi :

• Hôtel du Lac ou le camping situés sur le chemin dans la commune de Camps. Ces hébergements ont le mérite d’être directement implanté sur l’étape du lendemain.
• Gite d’étape ferme équestre du Mialaret situé à au moins 6 km hors chemin. Cet hébergement n’est pas cartographié dans le guide Chamina. Il est conseillé d’imprimer le trajet car l’office de tourisme de Laroquebrou ne connait pas cet hébergement.

Liens pour préparer votre étape :

• Départ : Laroquebrou
• Arrivée : Camps-Saint-Mathurin

 

Après avoir quitté l’ancien village de Laroquebrou, passage montant et bruyant le long de la D 653 et de la Cère pour rejoindre, en sous bois, un chemin descendant.

Une fois le camping franchi, on aborde les premières difficultés. Beaucoup d’alternances de montées et de descentes raides. A certains endroits, des escaliers et des cordes sous forme de rambardes vous aideront. Nombreux ruisseaux à franchir, passages de pierre qui peuvent être glissants et certaines sections sont boueuses. Franchissement des sections abruptes ou de tunnels creusés sous la roche.

Peut être que ce chemin doit être plus beau en automne lorsqu’il y a moins de feuilles permettant aux randonneurs de contempler la vallée dans son intégralité.

Une cascade de Lasbordes vous permettra de vous reposer quelques instants. Il restera encore quelques belles difficultés techniques. Vous aurez fait les 2/3 de cette portion difficile.

Le passage de quelques TER (ligne Aurillac à Brive) vous rappelleront que vous n’êtes pas seul !

Possibilité, via des alternatives (hors chemin) de rejoindre certains hameaux (Siran, …). Toutefois, ces sections semblent encore plus difficiles que le chemin initial.

Attention, certains chemins sont composés des montées et descentes abruptes sous forme d’escaliers. Les cordes utilisées comme rambardes peuvent être une aide précieuse.

Cette section peut être intéressante par les alternances des reliefs et d’un point de vue sportif. Il faut tout de même rester prudent du début à la fin (halte de Siran).

Exemple de passage dangereux : le tunnel passant sous le chemin de fer est en faite un ruisseau et cette portion de 20 m est très glissante.

Ensuite, passage au calme pendant 7 km sur un très faible dénivelé. Chemin au gré des ruisseaux sur des ponts de bois avec quelques points de vue sur la vallée de la Cère.

Présence de quelques tunnels fermés au public, qui si je ne trompe pas, étaient utilisés comme voie de dérivation pour les travaux du barrage. Par ailleurs, l’allée de cette étape aurait servit de route pour ces travaux.

A noter qu’auparavant, cette zone était aussi des pâturages il’y a plusieurs dizaines d’années. Ensuite, la nature a repris ses droits en laissant place à des régions boisées.

Ce passage est rafraichissant en période estivale et de fortes chaleurs.

Pour vous rendre à la ferme équestre du Mialaret, il faut savoir que son emplacement n’est pas renseigné. En outre, il n’y a pas de balisage spécifique pour vous y aller.

Vers le déversoir et bien avant les conduites forcés, il faut tourner à droite là où il existe un piquet avec une locomotive à vapeur. Cet hébergement est à plus de 6 km. Il faut prendre le chemin principal jusqu’à Negrevergne. Nombreux lacets, puis à la sortie de ce village (dernière maison), prendre à gauche puis à droite (route semi-goudronnée) direction les sous-bois pour aller vers le hameau La Peyre. Vous serez sur la D41. Ensuite, prendre cette route à gauche sur 500 m puis tourner à droite (à un calvaire) pour aller jusqu’à Mathurin-Leobazel (1,5 km). Puis, une fois dans ce village, prendre la route de gauche pour rejoindre le gite.

Utilisez géoportail pour localiser et imprimer le chemin. L’office de tourisme de Laroquebrou ne connaît pas cet endroit.

Attention de bien prendre en compte le fait que cet endroit est à environ 6 km de Camps en dehors du chemin. Donc assurez-vous de demander sur place s’il y a possibilité de se faire accompagner le lendemain au village de Camps, car le trajet du lendemain avoisine les 28 km.

Pour ceux souhaitant se reposer à Camps, possibilité de faire un détour par le « rocher des peintres » proposant un panorama à 180 degrés sur les gorges de la Cère.

Après les conduites forcées, vous quitterez la GR 652 qui continue de suivre la vallée de la Cère sur l’autre versant.

Vous emprunterez la GR 480 à destination du village de Camps et du rocher des peintres.

 

Cet endroit est le regroupement de plusieurs communes éparpillées sur une dizaine de kilomètres :

• Camps
• Saint-Mathurin
• Léobazel

Cette commune est traversée par la GR 480(« GRP de la Xantrie »).

Bon

Pas de problème particulier à signaler. Il existe peu de bifurcation, de fourches et d’intersections. Par contre, pas d’indications pour se rendre vers le gite du Mialaret (hors chemin).